Ce vol de dimanche en fin d'après-midi est de cette catégorie. Rien d'extraordinaire, "juste" le plaisir d'être en l'air.
La visibilité n'a rien d'exceptionnel, la lumière est fade, c'est un de ces vols locaux qui noircissent les pages de nos carnets de vols.
Pas de navigation, pas de survols grandioses, pas d'approche de nuit ni de traversée maritime. La campagne, rien que la campagne.
Décollage, quelques tours au-dessus des champs, un peu de maniabilité, puis le retour au bercail, heureux, repu de ces quelques minutes de bonheur simple, sans artifices.
Heureux d'avoir retrouvé pour quelques minutes l'odeur si particulière de nos machines, d'avoir pu se plonger dans cet autre monde qui fait lever nos têtes au moindre bruit dans le ciel...
Ce n'est plus du rêve puisque nous y sommes, ce n'est plus tout à fait la réalité non plus. C'est le monde de l'air, de la liberté, que seuls les passionnés fréquentent et apprécient.
Pour nous, Voler ne sera jamais commun, même si pour beaucoup l'avion n'est devenu qu'un autobus du ciel, source de retards et de tracas, pauvres innocents...
Cela me rappelle un retour d'Egypte où mon voisin tira le volet de son hublot aussitôt après le décollage, pour lire... alors que sous nos yeux défilaient le Sinaï et la Mer Rouge... Triste modernité, pauvre innocent.
Mais je m'égare !
Michel a comme toujours immortalisé quelques instants de cette fin d'après-midi.
Malgré le peu de lumière, le nouveau Nikon nous a ramené de belles images dont voici quelques extraits:
Le "VOR" de Chavenay:
Le nouveau paysage de France:
Chavenay vu de l'ouest, dans l'axe de la 10/28:
La Défense et Paris à l'est, dans le lointain:
Etape de base 23:
Il fait nuit noire et pourtant, le capteur se satisfait des quelques sources lumineuses:
Les machines sont rangées, les portes du hangar fermées, Chavenay s'endort...
La visibilité n'a rien d'exceptionnel, la lumière est fade, c'est un de ces vols locaux qui noircissent les pages de nos carnets de vols.
Pas de navigation, pas de survols grandioses, pas d'approche de nuit ni de traversée maritime. La campagne, rien que la campagne.
Décollage, quelques tours au-dessus des champs, un peu de maniabilité, puis le retour au bercail, heureux, repu de ces quelques minutes de bonheur simple, sans artifices.
Heureux d'avoir retrouvé pour quelques minutes l'odeur si particulière de nos machines, d'avoir pu se plonger dans cet autre monde qui fait lever nos têtes au moindre bruit dans le ciel...
Ce n'est plus du rêve puisque nous y sommes, ce n'est plus tout à fait la réalité non plus. C'est le monde de l'air, de la liberté, que seuls les passionnés fréquentent et apprécient.
Pour nous, Voler ne sera jamais commun, même si pour beaucoup l'avion n'est devenu qu'un autobus du ciel, source de retards et de tracas, pauvres innocents...
Cela me rappelle un retour d'Egypte où mon voisin tira le volet de son hublot aussitôt après le décollage, pour lire... alors que sous nos yeux défilaient le Sinaï et la Mer Rouge... Triste modernité, pauvre innocent.
Mais je m'égare !
Michel a comme toujours immortalisé quelques instants de cette fin d'après-midi.
Malgré le peu de lumière, le nouveau Nikon nous a ramené de belles images dont voici quelques extraits:
Le "VOR" de Chavenay:
Le nouveau paysage de France:
Chavenay vu de l'ouest, dans l'axe de la 10/28:
La Défense et Paris à l'est, dans le lointain:
Etape de base 23:
Il fait nuit noire et pourtant, le capteur se satisfait des quelques sources lumineuses:
Les machines sont rangées, les portes du hangar fermées, Chavenay s'endort...